"Rien ne doit s'interposer entre le roi et le paradis"

Victor Clark explique qu'une étrange césure de titulature sur le RIC 54 de Siscia pourrait être l'illustration de ce concept oriental:



De fait, environ 10% des RIC 54 de la base présentent cette césure "inutile".

Une autre césure est très étrange à Constantinople: celle de la série PROVIDEN-TIAEAVGG ou CAESS. Toutes les portes de camp laissent largement la place à la légende, qui pourrait alors s'écrire PROVIDENTIAE-AVGG. Or, les graveurs de Constantinople ont inutilement repris la césure en vigueur dans d'autres ateliers, où l'étoile - voire les tours de vigie - l'imposent effectivement.

https://www.nummus-bible-database.com/rechercher-une-monnaie.htm?page=1&personnages=12&ateliers=9&collections=&vendeurs=&motscles=&numric=&numnbd=&legendes=46&nombreResultats=50&btRechercher=Rechercher

https://www.nummus-bible-database.com/rechercher-une-monnaie.htm?page=1&personnages=&ateliers=9&collections=&vendeurs=&motscles=&numric=&numnbd=&legendes=47&nombreResultats=50&btRechercher=Rechercher

A l'avers les césures discontinues sont connues depuis les travaux de M. Pearce cités ici (p.3) :

https://www.academia.edu/9224379/Constance_Galle_et_Julien_II_2_in%C3%A9dits_de_l_atelier_d_Arles

Les travaux de M. J.W.E Pearce ont mis en évidence, dans le RIC volume IX pour la dynastie valentinienne, que le « style continu de la légende de droit implique toujours l’irresponsabilité et la dépendance vis-à-vis d’un collègue d’âge mur »