P.A.M.F.
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P.A.M.F.
Pour ceux qui ne reçoivent pas (si si, ça doit exister) ou qui ne lisent pas en entier le "Bulletin Numismatique de la CGB", un extrait, que j'ai découpé, et qui propose l'article de Michel Prieur sur le P.A.M.F.
CGB_bn124_PAMF.pdf
Un réquisitoire pour le rapprochement entre les chapelles, implacable, rigoureux, et bien imaginé : le projet, présenté comme cela, me va bien, et à vous ?
Tu sais pas ce que c'est, le P.A.M.F. ?? Ben vas lire, alors !
CGB_bn124_PAMF.pdf
Un réquisitoire pour le rapprochement entre les chapelles, implacable, rigoureux, et bien imaginé : le projet, présenté comme cela, me va bien, et à vous ?
Tu sais pas ce que c'est, le P.A.M.F. ?? Ben vas lire, alors !
Re: P.A.M.F.
Je me demande pourquoi les associations de prospecteurs et les forums de prospections, au lieu de se faire la guerre ne se sont pas fédérés pour construire ce genre de projet
Re: P.A.M.F.
Merci du lien, effectivement un article qui a le grand mérite de rouvrir le débat en évitant les polémiques contre productives. Bon, il y a quelques arguments qui m’ont un peu fait sourire du genre :
« Son statut flou (de la détection), ses pratiquants encore plus flous, les interprétations à géométrie variable des textes juridiques nous ont toujours poussé à rester à distance prudente. La stratégie marketing «de collectionneurs à collectionneurs » adoptée par cgb.fr l’a permis. »
Bonne stratégie marketing en effet, mais qui ne dédouane en rien les vendeurs et les acheteurs qui veulent tout ignorer de la provenance des objets.
«… la meilleure preuve en étant la proportion minime en nombre des objets trouvés qui entrent dans le circuit professionnel ».
Là je trouve M. Prieur un peu naïf, il faudra m’expliquer comment se sont constituées les collections (dont celles avec pedigree) si ce n’est par la récolte de monnaies découvertes plus ou moins «fortuitement». Seul le temps écoulé entre la découverte et la mise sur le marché en fin de compte leur donne une apparente respectabilité…
Mais cet article comporte des propositions intéressantes, a le grand mérite de regarder la réalité en face et de proposer des réponses pragmatiques. Le modèle anglo-saxon du PAS peut effectivement servir de base de réflexion, sans en faire un modèle irréprochable, car dans la durée, ce système aussi a montré ses limites. Le nombre de déclarations, très disparates selon des régions de G.B, a sensiblement diminué ces derniers temps. J’ai essayé de retrouver l’article sur le blog de Paul Barford, mais sans succès…
http://paul-barford.blogspot.fr/search?updated-min=2013-01-01T00:00:00-08:00&updated-max=2014-01-01T00:00:00-08:00&max-results=50
Le pire serait effectivement de ne rien faire, la législation actuelle étant bien trop dissuasive même pour les nombreux prospecteurs honnêtes désirant déclarer leurs découvertes. Résultat de ce raidissement des autorités, un blackout total, une perte d’informations définitive, et un marché de plus en plus opaque! A croire qu’on attend de ce pourrissement de la situation le prétexte pour interdire à court terme toute prospection.
« Son statut flou (de la détection), ses pratiquants encore plus flous, les interprétations à géométrie variable des textes juridiques nous ont toujours poussé à rester à distance prudente. La stratégie marketing «de collectionneurs à collectionneurs » adoptée par cgb.fr l’a permis. »
Bonne stratégie marketing en effet, mais qui ne dédouane en rien les vendeurs et les acheteurs qui veulent tout ignorer de la provenance des objets.
«… la meilleure preuve en étant la proportion minime en nombre des objets trouvés qui entrent dans le circuit professionnel ».
Là je trouve M. Prieur un peu naïf, il faudra m’expliquer comment se sont constituées les collections (dont celles avec pedigree) si ce n’est par la récolte de monnaies découvertes plus ou moins «fortuitement». Seul le temps écoulé entre la découverte et la mise sur le marché en fin de compte leur donne une apparente respectabilité…
Mais cet article comporte des propositions intéressantes, a le grand mérite de regarder la réalité en face et de proposer des réponses pragmatiques. Le modèle anglo-saxon du PAS peut effectivement servir de base de réflexion, sans en faire un modèle irréprochable, car dans la durée, ce système aussi a montré ses limites. Le nombre de déclarations, très disparates selon des régions de G.B, a sensiblement diminué ces derniers temps. J’ai essayé de retrouver l’article sur le blog de Paul Barford, mais sans succès…
http://paul-barford.blogspot.fr/search?updated-min=2013-01-01T00:00:00-08:00&updated-max=2014-01-01T00:00:00-08:00&max-results=50
Le pire serait effectivement de ne rien faire, la législation actuelle étant bien trop dissuasive même pour les nombreux prospecteurs honnêtes désirant déclarer leurs découvertes. Résultat de ce raidissement des autorités, un blackout total, une perte d’informations définitive, et un marché de plus en plus opaque! A croire qu’on attend de ce pourrissement de la situation le prétexte pour interdire à court terme toute prospection.
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